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Avan-hier, Madame S. n'est pas là, une infirmière est là pour changer les bandages de Roland. Pour le pansement qu'il a sur le ventre, elle me demande de l'aider "parce que ces endroits là, il vaut mieux quelqu'un de la famille". Me voilà de la famille, mais je ne sais pas pourquoi je vais être utile. Ça nous fait nous regarder, avec Roland, d'un air étonné. "tenez ici, s'il vous plait", elle pose des petites gazes vertes. Elle va dans le salon chercher sa malette, je glisse ma main dans le slip de Roland qu retient un cri. Quand l'infirmière revient, j'ai l'air innocent et Roland regarde le plafond. Elle reprend son travail, dit "merci, je crois que ça va maintenant". Elle est assise sur le bord du lit, je suis debout derrière elle, Roland me sourit. Je vais aux toilettes, je retire ma culotte, je reviens et dans le dos de l'infirmière je soulève ma jupe. Roland tourne la tête pour ne pas rire.
Dès qu'elle est partie, je m'allonge près de Roland, je prend son sexe dans ma bouche, mon sexe contre la sienne. Avec ses bandages, il n'arrive pas à relever ma jupe, je l'aide. Je l'entends expliquer que sa mère va rentrer bientôt. Il jouit quand j'entends la porte d'entrée, gymnastique catastrophe pour sauver les apparences. J'explique à Madame S. que tout va très bien, je pars en courant, dans l'ascenceur je pense que j'ai du sperme dans la bouche, pas de culotte, et envie de faire l'amour. Luc appelle, je lui dit que c'est tout de suite ou jamais, il quitte son boulot, vient me chercher, nous allons chez lui. C'est décoré avec un goût de plouc, il veut me montrer ses livres, je lui dit que je préfèrerais voir sa queue. Il y va de ses compliments, je suis une belle salope, que j'aime ça, tu es un connard mais bon. Je jouis en pensant à K., j'ai un peu honte. Luc fait son mielleux, que je suis super, qu'on va bien ensemble, est-ce que ça me dérange s'il fait des photos, je peux en faire si je veux.
Hier, alors que Madame S. est dans la cuisine, je montre à Roland sur mon portable une photo du sexe de Luc, "c'est la queue qui m'a fait jouir hier après que tu m'as excitée". Il a l'air effaré.
Je téléphone à L., elle me dit que trois hommes c'est trop, elle a juste son mari et un amant polonais: Je lui demande en riant s'il a une grosse queue, non, justement, donc ça ne compte pas vraiment. Rendez-vous pour samedi dîner à la maison, Luc ne sera pas là.
Nous avons tous bu un peu, L. un peu plus qu'un peu, son mari la tripote devant tout le monde, ça ne la gêne pas, je pense au polonais. K. trouve qu'elle en fait un peu trop, lui attend un coin d'intimité pour caresser mes seins et me dire des choses gentilles. Le mari de L. passe, K. ne le voit pas, il me fait un clin d'oeil, il est trop saoul pour s'en souvenir demain. En rentrant, je pense au mari de L., je me jure de ne jamais rien faire avec le mari de ma meilleure amie, j'ai aimé qu'il regarde un peu quand K. me caressait. Je fais l'amour avec K. en pensant qu'il nous regarde. Je me dégage avant que K. ne vienne, il me demande ce qui ne va pas, tout va très bien, je veux te voir quand tu jouis, viens dans ma bouche, je sors son pénis quand il jouit, pour voir sortir son plaisir. Je dors mal, je pense à Roland. Le matin, quand K. pars travailler, je me masturbe en pensant à Roland.
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