Soirée de fête, toute seule. K. est dans sa famille, j'y suis interdite de séjour. Déprime.
Hier, cadeaux avec K., je lui ai offert un livre, une chemise bleue, un ticket de loto. Il m'a offert un MP3 minuscule et très beau pour la musique. Trois jours en amoureux, promenades emmitouflée, je lui prend le bras en marchant, il est fier de moi et moi fière de lui.
Une fête, il y a plein de monde, restaurant un peu bidon mais on n'est pas là pour
Minuit, embrassades, l'ambiance devient franchement déjantée. L. me recoince, me caresse un peu, je garde ma culotte dans mon sac. Elle ne sait pas où est son mari, elle s'en fiche. K. bavarde, il doit être le seul à ne pas avoir bu, c'est son côté praticant. Pour le reste, il se bafre de viande de porc. Dans une seconde de calme près de lui, je lui dis que je n'ai pas de culotte, il rit, je le laisse à ses conversations.
L. se fait draguer par un grand blond à l'air mou, elle le regarde d'en bas l'air de peser le pour et le contre. Toilettes pour hommes, toilettes pour dames, je croise son mari dans le même couloir que tout à l'heure. Une fille que je ne connais pas masturbe un type que je connais pas, ils sont debout et nous ignorent. Il me prend la main en vieux copain, on s'assied sur le petit banc, il me parle de L. pour dire qu'elle a trop bu, les deux à côté sont à moins d'un mètre. Il met sa main entre mes cuisses, je lui dis qu'il y a une surprise s'il monte un peu plus. Il aime la surprise, s'agenouille, m'embrasse le haut des cuisses, le sexe. La fille à côté me regarde en continuant de tripoter son homme, ils s'approchent. Je caresse les cheveux du mari de L. qui me fait du bien, le type met sa queue dans ma bouche, la fille s'assied près de moi et le guide. Quand il va jouir, elle le reprend, il vient debout contre son visage, je jouis. La fille et moi nous sommes assises, le mari de L. se relève, nous changeons nos places, je le suce à genoux. Il vient dans ma bouche en grognant. Personne n'a dit un mot.
Je retrouve K. bavardant, il me sourit, "on y va quand tu veux". Je suis passablement éméchée mais pas assez pour ne pas être gênée. Il me dit plein de choses tendres en arrivant à la maison, remonte ma jupe, il me dit "regarde" et sort son pénis. Je jouis, c'est rare que ça m'arrive deux fois dans la soirée.
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