mercredi, octobre 22, 2008

Luc appelle tous les jours, je l'envoie promener. Madame S. est toujours lá quand je suis avec Roland, je fais le ménage, elle me dit que je suis une fille bien. C'est la Toussaint bientôt, elle va partir avec Roland chez sa fille, je serai en vacances. Je négocie avec Madame T. de ne pas venir chez elle une semaine, me voilà libre. Je vais déprimer, dépenser une fortune au téléphone avec ma mère. Luc appelle pour dire qu'il ne sera pas là cette semaine, bon voyage. L. passera la Toussaint avec sa belle famille, une semaine de vacances. K. est ravi de m'avoir pour lui à temps plein, il va prendre quatre jours de congés, il s'en fait une fête, je ne sais pas quoi penser.

Soirée de fête, toute seule. K. est dans sa famille, j'y suis interdite de séjour. Déprime.

Hier, cadeaux avec K., je lui ai offert un livre, une chemise bleue, un ticket de loto. Il m'a offert un MP3 minuscule et très beau pour la musique. Trois jours en amoureux, promenades emmitouflée, je lui prend le bras en marchant, il est fier de moi et moi fière de lui.
Une fête, il y a plein de monde, restaurant un peu bidon mais on n'est pas là pour la gastronomie. Je me suis habillée aussi court et transparent que possible, je fais autant d'effet que si j'avais un sac de pommes de terre. K. me dit que je suis magnifique, L. s'enferme avec moi aux toilettes, on rit comme des folles, son mari est saoul, il me met la main aux fesses dans un recoin de couloir. Je rigole, je lui dit que jamais avec le mari de mon amie, il me dit "tu as raison, moi non plus je ne sors jamais avec le mari de personne", il passe la main sous ma jupe, j'attends 10 bonnes secondes avant de lui dire d'arrêter.
Minuit, embrassades, l'ambiance devient franchement déjantée. L. me recoince, me caresse un peu, je garde ma culotte dans mon sac. Elle ne sait pas où est son mari, elle s'en fiche. K. bavarde, il doit être le seul à ne pas avoir bu, c'est son côté praticant. Pour le reste, il se bafre de viande de porc. Dans une seconde de calme près de lui, je lui dis que je n'ai pas de culotte, il rit, je le laisse à ses conversations.
L. se fait draguer par un grand blond à l'air mou, elle le regarde d'en bas l'air de peser le pour et le contre. Toilettes pour hommes, toilettes pour dames, je croise son mari dans le même couloir que tout à l'heure. Une fille que je ne connais pas masturbe un type que je connais pas, ils sont debout et nous ignorent. Il me prend la main en vieux copain, on s'assied sur le petit banc, il me parle de L. pour dire qu'elle a trop bu, les deux à côté sont à moins d'un mètre. Il met sa main entre mes cuisses, je lui dis qu'il y a une surprise s'il monte un peu plus. Il aime la surprise, s'agenouille, m'embrasse le haut des cuisses, le sexe. La fille à côté me regarde en continuant de tripoter son homme, ils s'approchent. Je caresse les cheveux du mari de L. qui me fait du bien, le type met sa queue dans ma bouche, la fille s'assied près de moi et le guide. Quand il va jouir, elle le reprend, il vient debout contre son visage, je jouis. La fille et moi nous sommes assises, le mari de L. se relève, nous changeons nos places, je le suce à genoux. Il vient dans ma bouche en grognant. Personne n'a dit un mot.

Je retrouve K. bavardant, il me sourit, "on y va quand tu veux". Je suis passablement éméchée mais pas assez pour ne pas être gênée. Il me dit plein de choses tendres en arrivant à la maison, remonte ma jupe, il me dit "regarde" et sort son pénis. Je jouis, c'est rare que ça m'arrive deux fois dans la soirée.

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